But
Nous pensons concrètement à:
- Fréquente réflexion avec la commission des jeux en vue d’une meilleure application de la réglementation en matière de licences et leurs renouvellements.
- Limitation du nombre de licences E, par analogie avec les licences A,B et F, ce qui signifie une plus-value pour les acteurs existants et un premier pas pour instaurer un accès à la profession.
- Possibilité de synergie avec la fédération Horeca et aux autres unions professionnelles pour défendre nos intérêts communs.
- Un comité équilibré et démocratique en vue de défendre objectivement les intérêts de chaque individu.
- Suivre de près les nouvelles tendances nationales-et si nécessaire internationales-en matière d’évolution technologique et juridique des jeux de hasard afin de transmettre l’information de façon permanente aux membres.
- Agir uniquement en vue d'atteindre ces objectifs.
Historique
22/06/2011
Présentation du nouveau website (http://www.bngo.be) dans les deux langues nationales. Elections de 4 membres au conseil d’administration, de 6 membres régionaux et d’1 représentant spécifique pour les salles de jeux automatique (classe II)
10/05/2011
Première réunion officielle de BNGO et adhésion de nouveaux membres.
11/04/2011
Publication des statuts de BNGO au moniteur belge officiel
25/02/2011
La dénomination BNGO, ou Belgian National Gaming Organisation, et le projet de statuts est présenté, amélioré et approuvé par un comité élargi, assisté du service juridique.
02/02/2011
Compte tenu de la forte participation à la réunion préparatoire, nos convictions ont été grandement renforcées et le premier comité fondateur s'est mis au travail sur le nom et le projet de statuts d'une nouvelle association professionnelle.
22/12/2010
Réunion préparatoire à Bruxelles en vue d’établir une nouvelle union professionnelle démocratique.
15/12/2010
Un petit groupe d’exploitants belges ne se retrouvent plus dans les unions professionnelles existantes UBA et BGA-notamment en matière d’informations et de démocratie. De plus, on constate qu’il n’y a plus que 30% des détenteurs de licences B et E affiliés à une de ces unions professionnelles.